lundi 18 février 2013

Se promener dans les bois.

Et chercher le chaperon rouge.
Compte rendu du voyage à Bruxelles.

Première partie : Le bois de la Cambre.

Le bois de la Cambre a été conçu sur une partie enclavée dans la ville de la forêt de Soignes en 1862 par un Allemand, établi en Belgique : le tracé du bois fut confié à Edouard Keilig, architecte de jardin né en Saxe en 1827 qui gagna un concours. Cet espace aménagé à l'anglaise, style né en Angleterre au début du XVIIIe siècle, imite la nature et se caractérise par une irrégularité dans la conception des plantations et des voies. Cette irrégularité offre des points de vues et de perspectives très variés.

La forêt de Soignes, Zoniënwoud en néerlandais, est une forêt d'environ 5 000 ha (aujourd'hui fragmentée par le réseau routier et ferré), située au sud-est de Bruxelles, dans la partie centrale de la Belgique.Elle est composée à peu près de 80 % de hêtres issus de plantations ou de régénération naturelle, dont les hautes futaies on fait surnommer une partie du massif « la hêtraie cathédrale ».La surface actuelle de la forêt de Soignes proprement dite est de 4 383 hectares, que l’on peut étendre à environ 5 000 hectares si l’on y inclut d’autres étendues boisées publiques qui en faisaient partie dans le passé. C'est une des plus grandes forêts périurbaines d'Europe, mais elle n'est que le vestige de la vaste forêt qui a autrefois couvert une bonne partie du Brabant et du Nord de la France.


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